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Essais datés 1983-2004, Vol. II, Adresses 
(Genève: Mamco, 2016), 169 pp.

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Ce deuxième volume des Essais datés de Thierry de Duve propose un ensemble de textes qui théorisent la question de l'adresse ou sont adressés à des interlocuteurs choisis, vivants ou morts, entre hommage et disputatio (Jacques-Alain Miller, Benjamin Buchloh, Marie-José Mondzain, Jean Clair, Jean-François Lyotard, Herman Parret, Mieke Bal, Daniel Arasse).

(Thierry Davila, quatrième de couverture)

Essais datés 1976-2010, Vol. I, Duchampiana 
(Genève: Mamco, 2014), 233 pp.

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Ecrits entre 1976 et 2012, les textes qui composent ce premier volume d’Essais datés concernent tous l’œuvre de Marcel Duchamp et ses parages. (…) De même, Thierry de Duve analyse un certain nombre de travaux qui sont dans une résonance explicite ou diffuse avec Duchamp, c’est-à-dire qui interrogent, approfondissent et en réalité réinventent sans cesse sa figure (Marcel Broodthaers, Bertrand Lavier, Sylvie Blocher).

(Thierry Davila, quatrième de couverture)

Faire école (ou la refaire?)
(revised and augmented edition, Genève-Paris: Mamco-Presses du réel, 2008), 231 pp.

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Transmettre, créer : deux termes qui, dans quelque ordre qu’on les mette, résument l’équation que toute école d’art est amenée à résoudre. Un défi que cette édition revue et fortement augmentée de Faire école (1992) — un ouvrage qui n’a rien perdu de son acuité et de son actualité — pense à partir de la longue expérience de son auteur dans l’enseignement artistique.

(Thierry Davila, quatrième de couverture)

Résonances du readymade. Marcel Duchamp entre avant-garde et tradition
paperback re-edition (Paris: Hachette, 2006), 288 pp.

Sylvie Eyberg / Valérie Mannaerts
(exh. cat. of Belgian Pavilion at Venice Biennale, bil. Fr.-Engl.) (Brussels: Yves Gevaert, 2003), 200 pp.
 

Voici, 100 ans d’art contemporain
(augmented second edition, Ghent: Ludion, 2001), 320 pp.
Link to Voici exhibition at Palais des Beaux-Arts, Brussels, 2000

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Cet ouvrage est à la fois un témoignage et une méditation : le catalogue de l’exposition Voici (Palais des Beaux-Arts de Bruxelles), augmenté de photos d’installation, et un essai en trois parties où Thierry de Duve, commissaire de l’exposition, propose une vision neuve de la modernité artistique, articulée sur les questions de la présentation, de l’adresse et de l’en-commun.

(Quatrième de couverture)

Voici, 100 ans d’art contemporain
(Ghent: Ludion, 2000), 303 pp.
Link to Voici exhibition at Palais des Beaux-Arts, Brussels, 2000

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Cet ouvrage est une invitation à regarder et à réfléchir. Il contient, salle par salle, tout le contenu de l’exposition Voici (Palais des Beaux-Arts de Bruxelles), ainsi qu’un remarquable essai où Thierry de Duve, commissaire de l’exposition, propose une vision neuve de la modernité artistique, qui réinterprète le passé pour mieux aborder l’avenir et nous introduire dans le XXIe siècle riches de l’héritage du XXe .

(Quatrième de couverture)

Clement Greenberg entre les lignes
(Paris: Editions Dis Voir, 1996), 157 pp.

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Dans cette étude décisive, Thierry de Duve se propose de lire Greenberg en prenant le contre-pied des critiques du célèbre critique — et parfois du critique lui-même. Réinterprétant les analyses que Greenberg fait des grandes figures de l’art moderne, dont Pollock et Duchamp, de Duve établit de nouvelles coordonnées théoriques qui permettent de comprendre les complexités subtiles et toute l’importance de la démarche de Greenberg.

(John O’Brian, quatrième de couverture)

Du nom au nous
(Paris: Editions Dis Voir, 1995), 124 pp.

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J’étais plutôt content et même fier, en 1985, d’avoir produit une théorie de l’art qui n’ait aucune valeur prédictive ou normative, et qui ne soit d’aucun secours ni pour l’artiste ni pour le critique d’art qui tente d’évaluer au présent l’art qui se fait autour de lui. Mais j’étais très démuni. (…) La phrase « ceci est de l’art » est une phrase adressée, elle est, disais-je à l’époque, l’appel à l’assentiment d’autrui. Quand autrui acquiesce, « je » fait place à « nous ».

(TdD, quatrième de couverture)

La déposition
(Paris: Editions Dis Voir, 1995), 60 pp.
 

Faire école 
preface Jean-Jacques Aillagon (Paris: Presses du réel, 1992), 227 pp.

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Les écoles d’art n’ont pas toujours existé. Elles ont pris pour plusieurs siècles la forme des Académies. Elles ont rompu avec l’académie pour se calquer sur le modèle tout neuf du Bauhaus. Puis ce modèle a vieilli. Comment une école d’art d’aujourd’hui peut-elle s’acquitter de sa tâche de transmission ?

(TdD, quatrième de couverture)

Cousus de fil d’or. Beuys, Warhol, Klein, Duchamp
(Villeurbanne: Art Edition, 1990), 103 pp.

Résonances du readymade. Marcel Duchamp entre avant-garde et tradition
(Nîmes: Editions Jacqueline Chambon, 1989), 301 pp.

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Tout le monde connaît le scandale et l’énigme que constituent les readymades de Marcel Duchamp : son Porte-bouteilles de 1914 ou sa Fontaine de 1917 — qui n’est autre qu’un urinoir que Duchamp exposa en le signant du nom de R. Mutt et dont il ne reste que des répliques et la photographie. Thierry de Duve montre que ces œuvres révèlent un paradigme esthétique valable pour toute la modernité.

(Quatrième de couverture)

Au nom de l’art. Pour une archéologie de la modernité  
(Paris: Editions de Minuit, 1989), 145 pp.

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On ne devrait jamais cesser de s’émerveiller, ou de s’inquiéter, de ce que notre époque trouve parfaitement légitime que quelqu’un soit artiste sans être peintre, ou écrivain, ou musicien, ou sculpteur, ou cinéaste… La modernité aurait-elle inventé l’art en général ?

(TdD, quatrième de couverture)

Essais Datés 1 1974-1986
(Paris: Éditions de la Différence, 1987), 342 pp.

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Photographie, architecture, critique d’art, peinture, sculpture, « performance », cinéma, peinture encore, ont fait les thèmes de ces neuf essais échelonnés sur une douzaine d’années. (…) C’est entre les arts que l’art se trouve, c’est dans le désir d’art que les arts se cherchent. Le nom rétrospectif de cette interspécificité spécifique serait modernité.

(TdD, quatrième de couverture)

Nominalisme pictural. Marcel Duchamp, la peinture et la modernité
(Paris: Editions de Minuit, 1984), 289 pp.

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Le readymade est d’extraction picturale, il appartient à l’histoire de la peinture, mais sur le mode de l’abandon. Il lui appartient d’autant plus que ce mode est aussi celui des peintres, en 1912 plus que jamais, au moment où Kandinsky, Kupka et Delaunay s’apprêtent à abandonner la figuration pour la peinture pure et posent la question moderniste de l’être pictural comme langage. Le readymade s’inscrit dans cette histoire mais non dans cette question.

(TdD, quatrième de couverture)